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Le mariage : ce mot qui fait rêver, frémir ou fuir, selon les jours… et selon les romans ! Si vous pensez que le mariage, c’est uniquement la robe blanche, les dragées et les oncles qui dansent la chenille, détrompez-vous. Les grands auteurs ont toujours eu un avis sur la question, et, croyez-le ou non, ils ont parfois été plus francs que votre grand-mère lors du vin d’honneur. Alors, prêt(e) à redécouvrir le mariage à travers quelques chefs-d’œuvre ? Attachez votre ceinture, ça va swinguer (et pas seulement sur la piste de danse) !
Les unions légendaires de la littérature
Oubliez les comédies romantiques où tout finit toujours bien. Dans la littérature, le mariage a souvent un petit goût de suspense, de rebondissement… et parfois de crise de nerfs. Dès les premières pages, certains couples font rêver, d’autres désespèrent, mais tous marquent les esprits. Et si vous voulez écrire votre propre chapitre, aussi élégant que plein de caractère, une robe mariée princesse avec manches sera la tenue idéale pour conjuguer raffinement, romantisme… et petite touche d’audace narrative.
Prenons Orgueil et Préjugés de Jane Austen : Elizabeth Bennet et Mr Darcy ont élevé l’art du quiproquo à un niveau olympique. Leur mariage, c’est le résultat d’un duel d’esprit, de mauvaise foi, et de fierté. À la fin, ils se disent oui, mais il s’en est fallu de peu que Darcy reparte avec ses préjugés et Lizzie avec son orgueil (ou l’inverse).
Chez Victor Hugo, dans Notre-Dame de Paris, Esméralda n’a pas vraiment le choix du mari – et on peut difficilement appeler ça un conte de fées. Là, le mariage est surtout un prétexte pour un peu de tragédie, quelques larmes… et une chèvre.
Quand le mariage rime avec liberté (ou presque)
Dans certains romans, le mariage est la clé de la liberté… ou sa pire ennemie. Pour Anna Karénine de Tolstoï, l’alliance est une sorte de bracelet électronique : elle rêve d’amour, se marie, s’ennuie, et finit par préférer le train (au sens littéral). Dans Madame Bovary de Flaubert, Emma attend tout du mariage – mais il n’y a ni violon ni feux d’artifice. Juste Charles, son mari, et un ennui mortel. À croire que l’amour, ce n’est pas toujours dans le contrat !
Trois mariages mythiques qui valent le détour
En panne d’inspiration pour vos vœux ? Voici trois couples romanesques à qui vous pouvez piquer quelques idées (ou pas) :
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Jane Eyre & Mr Rochester (Jane Eyre – Charlotte Brontë) : mariage sous tension, ambiance gothique, mais grand amour au bout du tunnel.
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Scarlett O’Hara & Rhett Butler (Autant en emporte le vent – Margaret Mitchell) : le mariage version montagnes russes, où l’amour ne rime pas toujours avec toujours.
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Catherine & Heathcliff (Les Hauts de Hurlevent – Emily Brontë) : mariage impossible, passion destructrice, météo capricieuse – à ne pas tenter chez soi.
Le mariage, miroir des sociétés (mais avec style)
Sous la plume des auteurs, le mariage n’est jamais juste une formalité : c’est un révélateur social. Il dit tout de l’époque, des conventions, des attentes, parfois même de la météo (allez comprendre pourquoi il pleut toujours le jour des mariages littéraires). Aujourd’hui encore, les codes évoluent, les traditions se réinventent… mais l’émotion, elle, reste intacte. Et pour incarner cette nouvelle ère avec style, rien de tel qu’une robe de mariée princesse 2024, entre modernité assumée et clin d’œil aux contes d’hier.
Entre critique et tendresse, l’art de raconter le mariage
Les écrivains aiment dresser un portrait drôle, piquant ou tendre du couple : ils nous font passer des larmes aux éclats de rire. Le mariage, c’est parfois l’occasion d’une satire, d’un règlement de comptes, ou tout simplement d’un moment de grâce.
Finalement, le mariage dans les romans, c’est comme une pièce montée : ça s’écroule parfois, ça impressionne souvent, et, au fond, tout le monde y trouve son compte. Et si jamais vous doutez, rappelez-vous que même les plus beaux couples littéraires ont dû gérer les petits (et grands) imprévus : la famille, le destin, et parfois… les chèvres.